Première action

Greunège D'Artois a écrit:
Nous aurions besoin d'un texte de présentation de l'IGM, mais expliquant également nos intentions (pour ne pas avoir de débarquer et de nous occuper de la politique intérieur du pays) et l'utilité de ces lois.

L'IGM ou Internationale de Gauche du Micromonde est le résultat d'une volonté partagée de Greunège d'Artois, Président du PUD et de l'Hubanie maritime et de Fred HUB, réformiste d'Eleuterya à l'époque, aujourd'hui, Président de Conivao. Elle regroupe les partis politiques de la Gauche modérée et réformiste et qui respectent et défendent la démocratie qu'elle soit républicaine ou monarchiste de diverses nations. Chacun des membres dispose d'un siège au sein de l'organisation.
Elle permet des débats entre eux et l'échange de points de vue. Elle n'intervient pas dans les affaires nationales et ne souhaitent pas le faire.
L'adhésion y est libre et non obligatoire, un parti de gauche peut refuser l'adhésion, d'ailleurs, l'IGM ne contraint aucun parti. Elle réalise simplement des campagnes d'adhésion et d'information.
C'est dans cet esprit que le présent texte de présentation a été écrit. Elle est doté d'un texte fondamental établissant les règles de fonctionnement.
Elle ne contraint pas non plus, ses membres à rester adhérent, chaque parti est libre de la quitter à tout moment.
Elle n'a aucun pouvoir de décision sur les choix et orientation de chaque parti et n'est pas un parti International et ne mènera aucune campagne isolée, cependant,un parti membre peut faire appel à un autre parti membre dans l'élaboration de la campagne voir durant la campagne sans que cela soit une obligation.
Ce point permet notamment d'aider les jeunes partis à s'organiser et à affronter les moments d'une campagne électorale.
L'IGM n'a pas de fonds propres et ne demande aucune participation financière des partis membres. C'est pourquoi, il n'y a aucun financement, les pays n'ont ainsi pas à craindre des subventions de l'IGM auprès de leurs partis réformistes lors d'une campagne ou un événement public.

LE DROIT SYNDICAL

Le droit syndical est le minimum qu'un salarié peut espérer avoir dans une démocratie car il permet de défendre ses intérêts devant des gouvernement qui pourrait parfois souhaiter mal mené le code du travail. Il consiste en un rassemblement de personnes au sein d'une organisation appelée syndicat. Le droit syndical va de pair avec le droit de grève qui permet de montrer le désaccord des salariés face à un problème posé. Le syndicalisme ne doit pas être politisé pour garantir une véritable indépendance des syndicats face aux autorités. Il ne s'agit pas de bloquer tout un pays chaque fois que quelque chose ne va pas mais bien d'avancer ensemble vers une solution satisfaisant tout le monde. C'est pourquoi, les gouvernements peuvent (pour ne pas dire doivent) consulter les syndicats chaque fois que l'on souhaite un changement radical du droit du travail. L'adhésion à un syndicat est libre et non obligatoire pour le salarié. Le syndicat ne doit pas non plus être un parti politique, il n'a pas pour vocation à présenter des candidats aux différentes élections.

Art. 1-1 : Tout salarié a le droit de se réunir au sein d'une organisation dénommé syndicat.
Art. 1-2 : Tout syndicat doit être préalablement enregistré auprès du ministère du travail.
Art. 1-3 : L'appartenance à un syndicat n'est aucunement une obligation, chaque salarié est libre.
Art. 1-4 : Les syndicats ne sont pas des partis politiques, ils n'ont pas vocation à présenter de candidats aux élections ; de même les syndicats ne peuvent être affiliés à un quelconque parti politique.

Art.2-1 : Les syndicats permettent la défense des droits des travailleurs. Pour cela, ils ont le droit de demander audience au ministre chargé du Travail, de déposer un préavis de grève selon la législation en vigueur et de manifester sur la voie publique.
Art. 2-2 : Ces demandes ou manifestations doivent être justifiées pour des raisons de mécontentement ou de désaccord avec la politique en matière du travail ou d'emploi.

Art. 3 : L'appartenance à un syndicat ne peut être le motif d'un licenciement ou d'une quelconque discrimination.

Greunège D'Artois a écrit:Parfait ! Quel travail tu as accompli là ! Je crois que je vais prendre ce projet de loi pour le proposer au débat en Hubanie, nous nn'avions pas encore le droit syndical.

M. Perré ? Etes-vous là ? Je pense que nous pourrons bientôt partir en Russlavie.